Aucun
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string(5) "Basse"
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string(2823) " La guitare basse (simplement appelée basse) est un instrument de musique à cordes amplifié conçu selon le même principe que la guitare électrique. Depuis les années 1960, la guitare basse a remplacé la contrebasse dans la majorité des musiques populaires comme le rock et la pop. Depuis les années 1970, la guitare basse est régulièrement utilisée comme instrument soliste dans un type de jazz appelé jazz-fusion. ♦ Description Une basse possède généralement 4 cordes, mais peut aussi en avoir 5 ou plus (on parle alors d'ERB, Extended-Range Basses). L'instrument est constitué d'un manche et d'un corps en bois plein (solid body) comprenant un ou plusieurs micros, potentiomètres et un chevalet, comme sur la guitare électrique. Le manche est généralement d'un diapason de 34 pouces (86 centimètres), mais parfois plus long ou plus court. Certaines basses avec un plus petit diapason sont appelées short scales. Ce manche supporte des frettes (qui délimitent les notes, comme sur la guitare). La méthode de fixation du manche (vissé, collé ou traversant le corps) et le type de bois utilisé pour la lutherie influent sur la sonorité. Les basses n'ayant pas de frettes, à l'image des contrebasses, sont appelées fretless. La guitare basse est généralement accordée une octave plus grave qu'une guitare, et de la même manière qu'une contrebasse, c’est-à-dire en quartes. Les fréquences sont les suivantes lorsque la note de référence est le La (A) 440 Hz: Mi (E) ; La (A) ; (110 Hz) Ré (D) ; Sol (G) ; (200 Hz) L'accord de la basse à cinq cordes est généralement Si, Mi, La, Ré, Sol (BEADG; ajout d'une corde grave) ou bien, moins fréquemment, Mi, La, Ré, Sol, Do (EADGC; ajout d'une corde aiguë). Les basses à six cordes sont accordées en Si, Mi, La, Ré, Sol, Do (BEADGC; ajout d'une corde grave et d'une corde aiguë), en quartes. Les basses à 8 cordes possèdent généralement 4 chœurs (paires de cordes accordées à l'octave), et les rares modèles à 12 cordes ont soit 6 chœurs, soit 4 groupes de 3 cordes formant chacun un accord de quinte (dans ce dernier cas, la corde la plus aiguë du chœur est semblable à une corde de guitare). ♦ Histoire Cet instrument fut conçu, tout comme la guitare électrique, pour pallier le manque de puissance des instruments acoustiques exigés dans le Rock’n’ Roll, ainsi qu'au problème de l'encombrement de la contrebasse. C'est l'un des rares instruments destinés dès l'origine à être amplifiés, et dont des versions acoustiques ne sont apparues que par la suite."
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string(1515) " le plus grand choix d'instruments de musique de la Côte d'Azur situé sur le secteur de Cap 3000. Guitares - du Classique au Hard rock ne cherchez plus! Votre guitare vous attend chez Music 3000. Plus de 300 guitares parmi les grandes marques
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string(3167) " La batterie a vu le jour au début du XXe siècle. Les principaux éléments qui la composent (grosse caisse, caisse claire, cymbales,...) existaient déjà au sein des orchestres classiques et des fanfares militaires. L'apparition de la batterie (en tant que regroupement de ces divers instruments) est directement liée à la naissance du jazz, ainsi qu'aux différentes évolutions technologiques du début du XXe siècle. Aussi les premières batteries portaient-elles le nom de «jazz», du nom du style de musique qui leur donna naissance. Son origine profonde est pluriculturelle et ancienne: la caisse claire (vers 1850) et la grosse caisse (XVIIe siècle) sont d'origine européenne. Les cymbales sont issues d'Orient et sont probablement un des instruments les plus anciens du monde. Ainsi les premières traces d'objets s'apparentant à des cymbales remontent au IIIe millénaire av. J.-C., en Inde. Les toms, quant à eux, trouvent leurs racines dans les percussions amérindiennes et africaines et furent probablement inventés à la même période que les vases en terre cuite. Le «charleston», bien que travaillé jusqu'à sa forme actuelle par le jazz dans les années 1920, provient d'un instrument de percussion romaine datant de l'Antiquité: le scabellum. Avec l'évolution du style de La Nouvelle-Orléans, la batterie connaît son véritable développement, surtout grâce à des batteurs comme Zutty Singleton. Depuis, la batterie, qui n'était à l'époque que l'assemblage d'une grosse caisse, d'une caisse claire et d'une cymbale, s'est beaucoup complexifiée. Lié à cet enrichissement de ce qu'on appelle le "set" (composition de l'instrument propre à chaque batteur, en fonction d'une époque et d'un style), on peut noter également que, depuis la création de la batterie, les "batteurs" n'ont jamais cessé d'étendre les possibilités techniques de cet instrument. Ceci est particulièrement audible dans le jazz - alors que le pattern rythmique du rock reste quasiment immuable, ainsi que dans ses multiples extentions (par ex., indienne: Zakir Hussein; afro-cubaine: Airto Moreira, Alex Acuna; africaine: Paco Serry, Moktar Samba; moyenne orientale, récemment: avec Anouar Brahem, etc.) Aujourd'hui il est difficile de dire qui repoussera les limites techniques et musicales de cet instrument, à la fois archaïque (cymbales et toms) et "militaire" (tambour, caisse claire). A ce propos, il faut noter que les américains (noirs ou blancs), sont particulièrement au devant de la scène jazzistique (Steve Gadd, Peter Erskine, Dave Weckl, Billy Cobbham, Dennis Chambers, Tony Williams, Jack DeJohnette, Jeff "Tain" Watts, Bill Stewart, et bien d'autres, actuellement, toujours plus impressionnants de par leur jeunesse effective qui contraste avec leur maturité musicale, derrière des solistes tels que Kenny Garrett, Chris Potter, Mike Stern, John Scofield, Chick Corea, etc.) En France, il existe également de "fortes personnalités musicales" qui représentent cet instrument: André Ceccarelli, Daniel Humair, Christian Vander, Simon Goubert, etc. "
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string(426) " le plus grand choix d'instruments de musique de la Côte d'Azur situé sur le secteur de Cap 3000 Espace Batterie Electroniques et Acoustiques Cymbales et Accessoires
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string(5) "Chant"
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string(698) " Premier cri, chant tribal, langage...depuis la nuit des temps la voix est notre outil de communication. Ces deux petites cordes qui, tel un instrument mi-guitare, mi-flûte vibrent par notre souffle et notre énergie, cachent une multitude de sonorités et de résonances que seule la technique vocale révèle. De même, elle permet de développer une perception intérieure par un travail du corps, une maîtrise de l'émotivité, une aisance à s'exprimer, pour aboutir ainsi au simple plaisir de chanter. Voix de castrats ou de divas, gospel, blues, jazz, rock ou flamenco, c'est la VOIX dans tous ses états."
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string(13) "Chant lyrique"
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string(5149) "La clarinette est un instrument à vent de la famille des bois caractérisée par son anche simple et sa perce approximativement cylindrique. Elle a été créée vers 1690 par Johann Christoph Denner (1655-1707) à Nüremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le "chalumeau". La clarinette soprano (en si) est le modèle le plus commun. La perce cylindrique de la clarinette la distingue du hautbois et du saxophone, tous deux à perce conique, et lui confère une aptitude au quintoiement. Son timbre chaud dans le registre grave, peut s'avérer extrêmement brillant voire perçant dans l'aigu. De tous les instruments à vent, la clarinette possède la plus grande tessiture avec 3 octaves plus une sixte mineure, soit 45 notes en tout. Elle se décline en une famille d'instruments presque tous transpositeurs, depuis la clarinette contrebasse jusqu'à la clarinette sopranino, couvrant ainsi toute l'étendue d'un orchestre symphonique. À l'exception des percussions, la clarinette est l'instrument qui possède la plus grande famille. La clarinette est aussi l'instrument à vent qui possède la plus grande plage de dynamique. Elle donne la possibilité au musicien, plus que n'importe quel autre "bois" ou même "vent", d'émettre des sons d'une infinie délicatesse : des bruissements, parfois même si ténus, qu'ils sont tout juste audibles, ne laissant passer que la colone d'air. A l'opposé, la clarinette peut s'exprimer avec une extrême puissance, impressionnante par l'intensité de ses sons resplendissants. Les quatre registres de la clarinette sont dénommés grave, ou chalumeau; le medium; le clairon; l'aigu et le suraigu. Voici détaillés les quatre registres de la clarinette : ♦ Le grave ou chalumeau est un registre moelleux, empreint de chaleur, de douceur et, peut être même, d'une certaine tristesse. ♦ Le médium est situé entre le grave et le clairon. C'est un registre qui manque parfois d'ampleur, ce à quoi le clarinettiste doit remédier en bouchant tous les anneaux et certaines clés de la main droite, ou en employant des doigtés factices pour certaines notes tenues (si bémol médium par exemple) ♦ Le clairon est brillant et rond, superbe dans la clarinette en sib (si bémol) et la clarinette en la. ♦ L'aigu se révèle puissant et éclatant. Le suraigu qui va jusqu'au contre ut est obtenu par des doigtés factices. Il est perçant, presque criard sur les dernières notes et particulièrement difficile d'accès pour les débutants. Cet instrument comporte 5 pièces : ♦ Le bec, généralement en ébonite, ou parfois en cristal, qui constitue une chambre de résonance de forme conique, et est composé d’une table (partie plane où repose l’anche), une chambre, un trapèze, et un tenon qui s’emboîte sur le barillet. L’ouverture donne un bec plus ou moins ouvert ou fermé, c'est-à-dire plus ou moins fort à jouer. ♦ Le barillet, de différentes tailles (64 à 67 mm), servant en partie à accorder l’instrument ♦ Le corps gauche, appelé corps du haut, comportant 15 trous, 9 clés, dont celle de 12ème au pouce gauche, et 3 anneaux ♦ Le corps droit, appelé corps du bas, où le pouce droit soutient l’instrument, avec 9 trous, 8 clés et 3 anneaux. ♦ Et enfin le pavillon, de forme conique, ayant un grand impact également sur la rondeur du son. Orchestre d'harmonie La clarinette si est à l'harmonie ce qu'est le violon à l'orchestre symphonique. Pour une harmonie de 50 musiciens, on compte idéalement 10 à 12 clarinettes réparties sur trois voix. Ce pupitre est souvent situé à gauche du chef d'orchestre, c'est-à-dire à la même place que les violons de l'orchestre symphonique, face aux saxophones. Dans les plus gros orchestres, on trouvera également une à deux petites clarinettes mi , une clarinette alto, une à deux clarinettes basses et, à l'occasion, une clarinette contralto ou contrebasse. Le jazz La clarinette est un instrument qui se prête bien au jazz. Très utilisée en jazz Nouvelle-Orléans, elle a cédé sa place au saxophone dès l'époque swing et surtout be-bop. C'est surtout la clarinette basse qui a conquis le jazz moderne avec des artistes comme Jimmy Giuffre, Buddy DeFranco, Eddie Daniels, Don Byron, Eric Dolphy, Tony Scott, Michel Portal, Louis Sclavis, Alvin Batiste, Perry Robinson, John Surman. Bien qu'il s'agisse d'une pièce classique, la Rhapsody in blue de George Gershwin, commence par le très célèbre solo de clarinette, et un glissando ascendant remarquable (mi au do suraigu). De même, Aaron Copland composa, en 1943, un concerto dont la cadence centrale ressemble à une improvisation jazz. Le saxophoniste Art Pepper a laissé également quelques enregistrements à la clarinette. Le saxophoniste Eric Dolphy est également connu pour avoir popularisé la clarinette basse dans le jazz. Les clarinettes sont également utilisées en jazz funk, ces instruments supportent bien les effets wah wah, et de réverbération."
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string(11) "Contrebasse"
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string(12) "Cor harmonie"
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string(6) "Flûte"
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string(6155) " La flûte traversière est un instrument à vent de la famille des bois. La flûte traversière partage avec les instruments de la famille des flûtes la méthode de production du son: l'air soufflé est mis en vibration par un biseau disposé à l'embouchure. Contrairement à la flûte de Pan, la flûte traversière ne comprend qu'un seul tuyau. Le terme de traversière est lié à la position de jeu de l'instrument (par opposition à de nombreuses autres flûtes, la flûte à bec en particulier): l'instrument est joué de manière latérale à l'axe du flûtiste. ♦ Facture Pendant des siècles, les flûtes ont été fabriquées en bois. Ce matériaux fut progressivement remplacé par le métal au cours du XIXe siècle avec l'apparition de la flûte "Boehm". Cependant, des musiciens se consacrant à la musique ancienne jouent toujours sur des flûtes en bois, souvent copies des instruments utilisés à l'époque du répertoire abordé. De plus en plus de flûtistes de renom, solistes ou jouant en orchestre, adoptent la flûte Boehm en bois pour des questions d'esthétique de son. Aujourd'hui, les modèles d'études sont généralement en maillechort argenté (alliage de cuivre, de nickel et de zinc). Les flûtes traversières semi-professionnelles et professionnelles sont en alliage d'argent, en argent massif, en alliage d'or 9c ou 14c ou, plus rarement, en or 18c ou en platine. Certaines flûtes ont également été fabriquées en cristal. Au-delà des matériaux employés, les flûtes professionnelles diffèrent des modèles d'étude par des détails de construction et de fabrication améliorant la qualité et la justesse du son ainsi que les performances de leur mécanisme (réduction des frictions et des jeux, aménagements pour augmenter la rigidité du mécanisme, cheminées soudées, tampons plus fins et plus fermes, ressorts à haute élasticité, etc.). Ces finitions, très poussées, sont réalisées manuellement. ♦ Origine La flûte traversière serait apparue en Civilisation chinoise Chine, puis en Occident au Moyen Âge (XIIe siècle). Les premières descriptions de l'instrument ne datent cependant que du XVIe siècle, période à laquelle on l'appelait « flûte d'allemand ». Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, Jean Batiste Lully introduit la flûte traversière dans l'orchestre d'opéra et à partir du XVIIIe siècle, l'instrument se voit assigner une fonction importante de soliste, en raison de sa sonorité diaphane et de son agilité. La flûte traversière est un instrument datant de la Préhistoire, elle était fabriquée en os, servant à la chasse. ♦ Évolution ♦ Période primitive ♦ Moyen Âge Au Moyen Âge et à la Renaissance, la flûte est constituée d'une seule section ou de deux pour la flûte "basse" en sol. Sa perce est cylindrique, et 6 trous de diamètres très proches y sont percés. ♦ Renaissance Aux XVIe siècle et XVIIe siècle, la flûte conserve son aspect médiéval: une pièce en général, parfois deux pour les basses en sol, rarement pour les ténors en ré. Sa perce est cylindrique, elle couvre deux octaves et demi et est chromatique, à condition de bien maîtriser ses doigtés, qui sont assez complexes. ♦ XVIIIe siècle Les premières transformations majeures apportées à la flûte traversière seront dues à la famille française Hotteterre, durant la première moitié du XVIIIe siècle. Jacques Martin Hotteterre coupe la flûte en 3 morceaux : la tête (avec l'embouchure), le corps (qui comporte les trous joués directement avec les doigts) et la patte (qui comporte en général un trou joué par une clé, mais parfois plus). Par la suite, la plupart des flûtes du XVIIIe siècle comprendront quatre parties, le corps étant divisé en deux. Hotteterre donne également à la flûte une perce conique, afin d'améliorer la justesse des octaves. Il écrit en 1707 le premier livre à propos de la flûte traversière: Les Principes de la Flûte Traversière. Tout au long du XVIIIe siècle, la flûte possède généralement une seule clé, pour le ré#. Johann Joachim Quantz ajoute cependant une clé pour le mi grave sur la patte, en plus du ré#. Cette préoccupation très fine de la justesse contredit l'idée répandue selon laquelle les musiciens de l'époque baroque se contentaient d'une justesse approximative de leurs instruments. Dans les dernières décennies du siècle, d'autres clefs sont ajoutées : de 4 à 6, voire plus encore : Johann George Tromlitz introduit à cette époque un excellent système qui, notamment par son do joué au pouce, préfigure déjà les évolutions majeures dans la facture de la flûte au début du siècle suivant. Des pattes allongées dotées de deux clés supplémentaires permettent à certains instruments d'atteindre le do grave. ♦ XIXe siècle Au début du XIXe siècle, la flûte possède de 5 (en France) à 8 clés (en Angleterre et en Allemagne). Des systèmes de plus en plus perfectionnés vont pousser à ajouter toujours plus de clés, jusqu'à des extrêmes tels que le panaulon viennois, qui descendra jusqu'au sol grave. Au début des années 1830, un flûtiste virtuose allemand, Théobald Boehm, propose un nouveau système, qui va entraîner la plus grande révolution technologique dans la facture de l'instrument. Le doigté est très différent et plus rationnel, notamment au niveau des fa, fa# et do, ainsi que le si. Il implique un mécanisme bien plus complexe, c'est pourquoi les systèmes précédents sont en général appelés «systèmes simples» par opposition au «système Boehm»."
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string(7) "Guitare"
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string(3621) " Les premières traces connues d’instruments similaires à la guitare remontent à 3000 ans av. JC en Perse. Étymologiquement, le mot «guitare» est une combinaison de deux mots: Guit qui provient du Sanskrit Sangîta signifiant «musique», et la seconde partie târ, purement Persan et qui signifie «corde». Le sanskrit était initialement une langue des Aryens, habitants de l’Iran et du Nord-Ouest de l’Inde.
Malgré des sonorités proches, le mot «guitare» n’est pas dérivé du mot sitar, qui désigne un instrument à cordes, mais est peut-être passé par le mot grec kithara κιθάρα, et de façon presque certaine par l’arabe qîtâra, puis l’espagnol guitarra.
Dans le dictionnaire Escudier (1854), il est écrit à «Guitare» «On ne sait rien de certain sur l'origine de cet instrument. On pense généralement qu'il est aussi ancien que la harpe que les Maures l'ont apporté en Espagne, d'où il s'est ensuite répandu au Portugal et en Italie. Du temps de Louis XIV, il était fort à la mode en France; mais la vogue qu'il eut fut de courte durée, et après avoir brillé d'un éclat tout nouveau, il y a quelques années, sous les doigts d'artistes forts habiles, il est aujourd'hui presque complètement abandonné comme le plus ingrat et le plus monotone des instruments».
Quant à l'origine du mot, le dictionnaire d'Alain Rey indique à propos de ce nom: «Est emprunté au XIII siècle (1275-1280 quitarre), à l'espagnol guitarra morisca (guitare moreshe en français, 1349). Le mot espagnol remonte au grec kithara peut-être par l'intermédiaire de l'arabe kittàra. Le rapport avec le persan sih tar "trois cordes", nom d'instrument, et des mots apparentés (égyptien, chaldéen), n'est pas clair. Le nombre de cordes variant (sept en Grèce), plusieurs instruments sont désignés par ce nom. L'espagnol médiéval connaît la guitarra latina, proche de notre guitare actuelle, et la moresca à trois cordes proche du luth et de forme ovoïde.»
Ce sont les Maures qui apportèrent les premières guitares en Europe, en Espagne au Xe siècle. La forme moderne est apparue dans ce pays, après différentes évolutions des guitares latines et mauresques, sans doute en passant par la vihuela. Bien que voisine du luth, elle constitue une famille différente et leurs évolutions sont distinctes.
La guiterne était un instrument populaire durant le XIVe siècle. Elle est restée en usage jusqu’à la moitié du XVIIe siècle. La guiterne avait un corps plat, le corps et le manche étaient construits d’une même pièce de bois et avait habituellement quatre cordes simples. Pour le guitariste espagnol Paco de Lucia, l’inventeur de la guitare telle qu’on la connaît s’appelle Zyryab. Né à Bagdad, il a vécu à la fin du VIIIe siècle à la cour de Cordoue. Il a ajouté une cinquième corde au Oud (le luth arabe) et a fondé une école de musique qui eut une influence considérable sur la musique arabo-andalouse.
C’est le luthier espagnol Antonio de Torres, en 1874, qui donna à la guitare la forme et les dimensions de la guitare classique actuelle. De nombreuses déclinaisons ont été créées au XXe siècle (folk, jazz, électrique) à partir de cette guitare Torres.
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string(5) "Piano"
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string(10794) " Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des cordes frappées. Le son du piano est produit par la vibration de ses cordes tendues sur un cadre rigide horizontal (piano à queue) ou verticales (piano droit), placé au-dessus de la table d’harmonie. Elles sont frappées par des marteaux couverts de feutre, actionnés par l'enfoncement des touches du clavier. La vibration des cordes est stoppée par un étouffoir lorsque la touche du clavier est relâchée. Le piano possède le plus souvent un pédalier de deux ou trois pédales, aussi appelé lyre, permettant d'augmenter son potentiel expressif. Les pédales sont très importantes pour s'exprimer au piano: la pédale gauche est une sourdine (appelée aussi "una corda") qui décale le clavier de façon à ce que les marteaux ne frappent qu'une corde au lieu de trois sur les pianos à queue, tandis que sur les pianos droits cette même fonctionnalité s'obtient par un dispositif donnant moins d'ampleur au son en rapprochant les marteaux des cordes; la pédale du milieu est une sourdine pour diminuer le son au maximum pour ne pas déranger sur les pianos droits et la pédale tonale ou pédale sostenuto sur les pianos à queue; la dernière est peut-être la pédale la plus utilisée, elle permet au pianiste de prolonger la vibration des cordes, pour lier les harmonies entre elles. Son nom provient d'une abréviation de piano-forte, nom de son ancêtre du XVIIIe siècle, lui-même nommé par la possibilité qu'il donnait à celui qui le jouait de nuancer et ainsi de jouer aussi bien piano que forte; possibilité que le piano a conservé. Dans certains pays, le piano est encore appelé «pianoforte». ♦ Invention du piano-forte Créé au début du XVIIe siècle par l'italien Bartolomeo Cristofori, à Florence, sous l'appellation de piano-forte, le piano naît de l'évolution d'un instrument appelé clavicorde (XVe siècle) et du tympanon (Moyen Âge). La date de fabrication du premier piano-forte par Bartolomeo Cristofori est incertaine, mais un inventaire réalisé par ses employeurs, la famille Médicis, indique l'existence d'un instrument en 1698. Cristofori n'aura construit en tout qu'une vingtaine de piano-forte avant sa mort en 1731, et seuls trois d'entre eux sont parvenus jusqu'à nous, datés des années 1720. Les premiers piano-forte ont particulièrement profité des siècles de travaux et de perfectionnements apportés au clavicorde, notamment par le raffinement des méthodes de construction des structures (en bois à cette époque), ainsi que celles de la conception de la table d'harmonie, du chevalet et du clavier. Cristofori était lui-même un facteur de clavicordes et de clavecins, bien au fait des techniques de fabrication de tels instruments et des connaissances théoriques associées à celles-ci. La découverte fondamentale de Cristofori est la résolution d'un problème mécanique intrinsèque aux pianos: les marteaux doivent frapper les cordes mais cesser d'être en contact avec elles une fois frappées afin de ne pas étouffer le son; ils doivent de plus retourner à leurs positions initiales sans rebondir violemment et ceci rapidement pour permettre aux notes d'être répétées à une vitesse satisfaisante. Les premiers instruments du facteur italien étaient construits avec des cordes fines et pour cette raison beaucoup moins sonores que les clavicordes ou les clavecins de leur temps. En deux siècles on assistera à un renversement complet du concept d'instrument à cordes frappées: faible tension des cordes, corps sonore léger et audition de la table contre forte tension des cordes, corps sonore lourd et audition de la corde. Néanmoins, comparé au clavicorde, le piano forte amélioré permettait des nuances dynamiques et sonnait bien plus fort, avec une tenue de note plus longue. Ce nouvel instrument restera peu connu jusqu'à ce qu'un écrivain italien, Scipione Maffei, écrive un article enthousiaste à son propos, y incluant un diagramme de ses mécanismes. Cet article fut distribué d'une manière très large, et la plupart des facteurs de piano-forte des générations suivantes mirent les découvertes de Cristofori en pratique après en avoir pris connaissance. L'un de ces fabricants était Gottfried Silbermann, connu comme facteur d'orgue. Les piano-forte de Silbermann étaient quasiment des copies conformes de ceux de Cristofori, à une exception importante près: ils possédaient l'ancêtre de la pédale forte, qui permet de relever en même temps tous les étouffoirs sur l'ensemble des cordes; quasiment tous les pianos construits par la suite reprendront cette innovation. Silbermann montra à Bach l'un de ses premiers instruments dans les années 1730, mais ce dernier n'apprécia pas l'instrument, trouvant que les notes aiguës avaient un son trop faible pour permettre des dynamiques véritablement intéressantes. Si ces remarques lui valurent une certaine animosité de la part de Silbermann, il semble qu'elles furent prises en compte; en effet, en 1747, Bach approuvera une version plus récente et perfectionnée de l'instrument. La facture de piano-forte connut son essor durant la fin du XVIIIe siècle, avec le travail de l'école viennoise, comptant parmi ses membres Johann Andreas Stein et sa fille Nannette Stein ainsi qu'Anton Walter. Les pianos de style «viennois» étaient fabriqués sans cadre avec seulement un barrage en bois, deux cordes par note, et des marteaux recouverts de cuir. C'est pour des instruments de ce type que sont écrits les concertos et sonates de Mozart. Cet instrument avait un son plus doux et plus clair que celui des pianos modernes, et permettait aussi de tenir les notes plus longtemps.
♦ Développement du piano-forte Durant la longue période s'étendant de 1790 à 1890, le piano-forte de l’époque classique va subir de très nombreux changements qui vont l'amener à sa forme actuelle de « piano moderne ». Cette évolution de l'instrument a été motivée par le besoin permanent des compositeurs et des pianistes d'un son plus puissant et de plus grandes possibilités expressives. Elle fut permise par la révolution industrielle en cours, qui mit à la disposition des facteurs de piano des procédés technologiques permettant de produire des cordes en acier de grande qualité et une plus grande précision d'usinage pour la production des cadres en fonte. Au fur et à mesure de cette évolution, jouer du piano devint de plus en plus fatigant, la force nécessaire pour enfoncer les touches ainsi que la course nécessaire à l'enfoncement de celles-ci ayant augmentées. La tessiture du piano-forte augmenta elle aussi conséquemment, passant de 5 octaves à l'époque de Mozart aux 7 octaves 1/3 et parfois plus des pianos modernes. Pendant la première partie de cette période, les progrès technologiques apportés au piano-forte durent beaucoup à la firme anglaise Broadwood qui avait alors déjà une grande réputation pour le son puissant et majestueux de ses clavecins. Au fil des années, les instruments produits par ce facteur devinrent plus grands, plus puissants, et construits de manière plus robuste. La firme, qui envoya ses instruments à Haydn et Beethoven, fut la première à construire des piano-forte avec une tessiture de plus de 5 octaves: 5 octaves 1/5 dans les années 1790, 6 octaves en 1810 (ce qui permit à Beethoven d'employer les notes ajoutées dans ses dernières œuvres) et 7 octaves en 1820. Les facteurs viennois suivirent aussi cette tendance mais ces deux écoles se distinguent néanmoins par des mécaniques différentes: celle de Broadwood était plus robuste, celle de l'école viennoise plus sensible.
♦ Naissance du piano moderne Au cours des années 1820, les firmes Erard (1780-1959) et Pleyel (Paris - 1807), développèrent l'instrument et se firent une concurrence stimulante. On sait que Chopin et Liszt, utilisaient leurs pianos. La firme Érard apporta certainement les innovations les plus importantes surtout du point de vue de la mécanique de l'instrument; plusieurs centaines de brevets qu'elle a déposés en France et en Angleterre décrivant des améliorations importantes en témoignent. Ignace Pleyel, musicien, puis son fils, Camille, surent quant à eux s'entourer de chercheurs acousticiens et de scientifiques (Gustave Lyon, Auguste Wolf) pour développer de façon importante la sonorité, ils furent en effet les premiers en France à adopter le croisement des cordes et le cadre métallique d'une seule pièce, donnant à l'instrument plus de puissance tout en permettant l'utilisation de cordes plus longues. En 1821, Sébastien Érard inventa pour sa part le système à répétition, communément et improprement appelé double échappement, qui permet à une note d'être rejouée même si la touche n'est pas encore revenue à sa position initiale; une innovation que les grands virtuoses sauront utiliser dans des compositions toujours plus difficiles et toujours plus rapides. Amélioré par Henri Herz vers 1840, le principe du double échappement devint finalement le mécanisme standard des pianos à queue, utilisé par tous les facteurs. Le déclin de la firme Erard fut en partie dû à sa volonté de conserver et de produire un instrument à cordes parallèles (ou obliques) dans lequel l'homogénéité du son est meilleure entre les basses et les médiums. D'autres innovations importantes ont été apportées durant cette période: - l'utilisation de trois cordes au lieu de deux pour toutes les notes sauf les plus graves. - le cadre métallique: situé au-dessus de la table d'harmonie, il sert à supporter la tension des cordes. Le cadre métallique fut la solution permettant au piano de supporter l'augmentation de la tension des cordes, de leur nombre, et de leur épaisseur. - le croisement des cordes, les cordes basses, passant au dessus des cordes blanches, et portant sur un chevalet séparé. Cette configuration répartit mieux les tensions mais permet surtout une plus grande longueur de cordes pour un moindre encombrement tout en ramenant le chevalet des basses au centre de la table où la faculté vibratoire de celle-ci est plus importante, donnant une plus grande puissance à l'instrument. - la pédale tonale, inventée en 1844 par Jean Louis Boisselot et améliorée par le facteur Steinway en 1874. Le piano de concert moderne atteignit sa forme actuelle aux alentours du début du XXe siècle."
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le plus grand choix d'instruments de musique de la Côte d'Azur situé sur le secteur de Cap 3000. Du piano d'étude au piano de concert , une sélection rigoureuse des plus grandes marques pour chaque budget. ♦ Contrat "garantie-reprise" pour débutants ♦ Location de pianos de concert
Pianos à Queue Pianos Droits Pianos Numériques Pianos Rythmiques Pianos Portables GranTouch "
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string(8982) " Le belge Antoine Joseph Sax, dit Adolphe Sax (1814-1894), a cherché inlassablement à perfectionner les instruments de musique, et plus particulièrement les instruments à vent. Le tout premier saxophone construit par Sax, à Paris, en 1842, était un saxophone baryton en fa. Ce tout premier saxophone présentait toutes les caractéristiques du saxophone actuel: tube métallique à perce conique, bec à anche simple et système de clés Boehm, mais il avait encore la forme générale d'un ophicléide: (instrument de la famille des cuivres). En 1844, le saxophone est exposé pour la première fois à l'Exposition Industrielle de Paris. Le 3 février de cette même année, Berlioz, un grand ami de Sax, dirige lors d'un concert son choral «Chant sacré» qui inclut le saxophone. En décembre, le saxophone fait ses débuts d'orchestre au Conservatoire de Paris dans l'opéra de Georges Kastner, «Le Dernier Roi de Juda». Le 21 mars 1846, Sax dépose son brevet pour «un système d'instruments à vent dits saxophones» qui comporte huit instruments. La réorganisation complète des musiques régimentaires et l'adoption par l'armée française, en 1845, des instruments de son invention (saxhorns, saxophones, saxotrombas) ont placé Sax en position de monopole de fourniture de ces instruments. Le brevet d'invention de Sax expire en 1866. La compagnie Millereau fait alors breveter le Saxophone-Millereau, qui possède une clé de fa# bifurquée. En 1881, Sax étend son brevet d'invention original: il allonge le pavillon pour inclure un si et un la grave, et étend également vers le haut en ajoutant fa# et sol à l'aide d'une quatrième clé d'octave. Entre de 1886 à 1887, l'Association des Ouvriers invente la clé de trille pour le do main droite, le système de demi-trou pour les premiers doigts de la main, l'anneau de réglage d'accord et la double clé. Elle améliore également le sol articulé pour que la clé de sol puisse être maintenue tandis que n'importe quel doigt de la main droite est employé, améliore le fa# bifurqué et ajoute un si grave. Lecomte inventera en 1888 la clé d'octave simple ainsi que des rouleaux pour le modèle mi-ut basse. La société Adolphe Sax & Cie a été rachetée par la société H. Selmer & Cie en 1928 (le premier saxophone Selmer modèle 22 est né en 1921). Depuis lors, l'entreprise Selmer a participé à l'amélioration de la fabrication des saxophones, ce qui lui a valu de conquérir le marché américain et de s'imposer en Europe. Les autres anciens facteurs de saxophones (Buffet-Crampon, Millereau, Gautrot, Couesnon) présents à la fin du XIXe, ont été progressivement supplantés par des marques internationales: Adler, Huller, Yamaha. Après son invention qui date du début des années 1840, le saxophone est très vite apparu dans l'orchestre et surtout dans les partitions d'opéra, ce qui pourrait être expliqué par le poste de Directeur de la musique de scène tenu par Adolphe Sax lui-même. La période la plus favorable fut sans conteste celle entre 1857 et 1870, où Sax est nommé professeur au Collège Militaire rattaché au CNSMD de Paris. Il y formera des dizaines d'instrumentistes de talent, qui essaimeront au sein des diverses musiques de l'armée. Et il fera écrire par ses amis et collègues différentes pièces de concours, ensembles de saxophones qui feront les joies des mélomanes parisiens pendant plusieurs années. S'ensuivit une période de déclin qui aurait pu être fatale si le relais n'avait pas été pris en Amérique du Nord par Elise Hall, (1853-1924) qui développa le premier répertoire soliste pour saxophone, puis par les musiciens de jazz qui apprivoisèrent peu à peu le nouvel instrument jusqu'à ce qu'il devienne l'icône emblématique de leur musique que nous connaissons de nos jours. ♦ L'explosion du saxophone populaire En 1906, le quartet de Tom Brown faisait ses premiers pas avec le cirque des «Frères Ringling» aux États Unis. À l'origine, les musiciens étaient multi-instrumentistes dans le style des spectacles «Minstrels» très populaires outre-Atlantique, mais en 1914, l'ensemble devient le «Brown Brothers Saxophone Sextet». Avec un répertoire allant de Verdi (sextuor de «Rigoletto») jusqu'aux premières esquisse du "jass" («That Moanin' Saxophone Rag», «Smiles and Chuckles»). En 1917, Rudy Wiedoeft et son « Frisco Jass Band » eut également beaucoup de succès grâce à sa participation à la comédie-musicale « Canary Cottage » où, malgré la présence de vedettes comme Eddie Cantor, le saxophoniste fut clairement l'attraction de la soirée. Après ce succès, les enregistrements de Wiedoeft rencontrèrent un très large public. Le public américain, très friand de ce nouvel instrument relativement facile à apprendre, lance la mode du saxophone avec des revues telles que «Sax-o-Trix» et «The Saxophone Revue». Il impose la présence des saxophones dans les orchestres de variétés, un avis qui n'était pas partagé par les tenants du style Nouvelle Orléans, mais qui est vite devenu de rigueur à cause de la demande populaire. Durant cette période, il y a même des orchestres entièrement composés de saxophones qui font office de fanfares lors des manifestations populaires dans les villes américaines. ♦ Le saxophone dans le jazz Bien que le seul instrument véritablement créé par et pour le jazz soit la batterie, le saxophone est pour le grand public, l’instrument emblématique de cette musique. Cantonné à ses débuts à un répertoire « pompier » ou militaire, le saxophone aurait pu voir sa carrière instrumentale rapidement stoppée. Pour gagner ses lettres de noblesse et l'aura populaire qu'on lui connaît, l’instrument a dû traverser l’Atlantique pour être adopté par cette nouvelle musique qui se formait alors dans la communauté afro-américaine : le jazz. D’abord utilisé de manière rudimentaire en section, le rôle du saxophone change rapidement de dimension. La première figure marquante qui impulse ce changement au saxophone est Coleman Hawkins membre du « Fletcher Henderson Band » dès 1923. Il invente une nouvelle manière d’utiliser le saxophone, en fait un instrument soliste incontournable et développe un « son » qui reste la carte de visite du saxophone auprès du grand public. Dépassant le cadre de simple instrumentiste, ils ont rendu cette musique dans un état différent de celui dans lequel ils l’avaient prise : Lester Young, Charlie Parker, Stan Getz, John Coletrane, Ornette Coleman. C’est parce que le jazz a été à cette époque une musique populaire que le saxophone l’est devenu aussi. ♦ La famille des saxophones La famille des saxophones conçue par Adolphe Sax comprenait 14 tailles. Seules 7 sont encore utilisées aujourd'hui: Le saxophone contre basse, très rare, en mi Le saxophone basse, assez rare, en si Le saxophone baryton, en mi Le saxophone ténor, en si Le saxophone alto, en mi (courbe, et plus rarement droit) Le saxophone soprano, en si (droit, courbe ou semi courbe) Le saxophone sapranino, assez rare, en mi Les plus utilisés sont le soprano, l'alto, le ténor et le baryton. Ils composent le quatuor de saxophones. Dans les quatuors de saxophones, le soprano est parfois remplacé par un second alto. La plupart des saxophones actuels sont des instruments dits transpositeurs, c'est-à-dire que la note jouée sur l'instrument ne correspond pas à celle entendue. Ainsi par exemple lorsqu'un saxophoniste alto joue un do, la note sonne comme un mi à l’oreille. Le saxophone comporte trois registres: grave, medium et aigu, sur une tessiture de deux octaves et une quinte. Dans de nombreuses musiques contemporaines et actuelles, on utilise aussi le suraigu dont les notes sont obtenues à partir de doigtés spéciaux permettant de faire sonner une harmonique particulière. De par son invention tardive, et même si des compositeurs comme Bizet ou Ravel ont reconnu ses mérites et l’ont parfois utilisé, le saxophone occupe une place assez marginale dans la musique classique et se trouve rarement représenté dans les orchestres symphoniques. Cependant, il reste incontestablement un instrument majeur du jazz."
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string(1585) " Le ukulélé (prononciation ykylele ou, par transposition de la prononciation anglaise, jukulele) est un instrument à cordes pincées traditionnel des îles Hawaii, proche du cavaquinho portugais dont il est une adaptation. Souvent bon marché et à la mode dans la première moitié du XXe siècle, ce petit instrument polyvalent composante indispensable d’un orchestre hawaiien fut rapidement adopté par divers courants musicaux - de la chanson populaire au jazz - parfois parce qu’il apportait une dimension humoristique ou exotique à un ensemble. Le ukulélé est une adaptation de la braguinha ou machete de l'île de Madère qui est une des formes du cavaquinho portugais. Si le ukulélé n’est pas plus vieux que la fin du XIXe siècle, l’étymologie de son nom reste sujette à caution. Deux hypothèses sérieuses sont à retenir. L'hypothèse la plus couramment acceptée et la plus répandue est la suivante: le mot ukulélé proviendrait de l’agrégation des mots hawaiiens « uku » (puce) et « lélé » (sauteuse), terme qui désigne en hawaiien la puce du chat, espèce introduite à Hawaii un peu plus tôt que le ukulélé au XIXe siècle. On trouve des traces de cette étymologie vers la fin du XIXe siècle.[réf. nécessaire] La deuxième hypothèse sérieuse et dont il existe des traces précoces: ukulélé serait une déformation de l’agrégation de « uke » et « lele », termes qui désignent respectivement les actions de gratter et frapper."
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string(6215) " ♦ Origine et naissance du violon Bien qu'il existe une représentation d'un violon (forme en huit, volute, ouïe en forme de C) sur une statue d'un temple en Inde datée du XXIIe siècle, on estime habituellement que le violon naît dans les années 1520, dans un rayon de 80 km autour de Milan en Italie. Il y a indétermination entre les villes de Brescia et de Crémone. Le premier luthier ayant fabriqué un violon pourrait être Giovan Giacobo dalla Corna ou Zanetto Montichiaro. Il semble que le violon ait emprunté des caractéristiques à trois instruments existants: le rebec, en usage depuis le XIVe (lui-même dérivé du rebab de la musique arabe), la vièle et la lira da braccio. La première mention du violon dont on ait trace est une note de décembre 1523, dans un registre de la Trésorerie générale de Savoie pour le paiement des prestations des «trompettes et vyollons de Verceil». La première apparition du violon dans l'art est due à Gaudenzio Ferrari (circa 1480 - 1546), auteur de La Madonna degli aranci (La Madonne à l'oranger), datant de 1529-30, dans l'église Saint-Christophe. Enfin, une des premières descriptions explicites de l'instrument et de son accord en quintes figure dans l'l'Epitome musical des tons, sons et accordz de Philibert Jambe de Fer, publié à Lyon en 1556. Le violon se répand rapidement à travers l'Europe, à la fois comme instrument de rue, populaire, et comme instrument apprécié de la noblesse: ainsi, le roi de France Charles IX commande à Amati 24 violons en 1560. Le plus ancien violon qui nous soit parvenu est un de ceux-là et porte le nom de leur commanditaire. ♦ De la Renaissance à la période classique En 1630, Pierre Trichet écrit, dans son Traité des instruments de musique que « les violons sont principalement destinés aux danses, bals, ballets, mascarades, sérénades, aubades, fêtes et tous passe-temps joyeux, ayant été jugés plus appropriés à ces genres de passe-temps que tout autre instrument ». L'avis de Trichet n'est pas isolé au début du XVIIe : à ses débuts, le violon est considéré comme criard et juste bon à faire danser. De fait, la France du XVIIe recherche plus les sonorités intimistes propres à l'expression individuelle que les effets spectaculaires des virtuoses et le son brillant du violon. Cependant, il a déjà commencé sa conquête du monde musical en Italie dès les années 1600. Sous l'influence de premiers virtuoses tels que Balthasar de Beaujoyeux, à la tête du groupe de violons italiens emmenés du Piémont en 1555 par Charles Ier de Cossé, la famille des violons connaît un succès croissant qui va l'amener à supplanter progressivement la viole de gambe. Dans Circé ou le ballet comique de la reine, se trouvent deux séries de danses instrumentales qui sont spécifiquement destinées à être jouées par des violons. Le texte et la musique en sont publiés en 1582, formant ainsi la première partition jamais imprimée pour le violon. L'établissement du violon en France se poursuit avec la création en 1626 des Vingt-quatre Violons du Roi, et surtout grâce à l'influence du compositeur et violoniste italien Jean-Baptiste Lully (1632-1687). ♦ L'Italie: premier âge d'or de la virtuosité C'est néanmoins en Italie que le violon connaît son essor le plus rapide et le plus spectaculaire. La virtuosité des violonistes italiens est exploitée dès le début de la période baroque par Claudio Monteverdi, qui use de trémolos et de pizzicatos dans ses opéras, dont l'un des plus connus pour son usage du violon est L’Orfeo (1607). Il faut attendre plusieurs décennies avant que des virtuoses tels que Heinrich von Biber (1644-1704) achèvent hors d'Italie un degré de maîtrise virtuose tel que celui développé par les maîtres italiens. La seconde partie du XVIIe siècle voit la domination de l'école de Bologne qui produit des musiciens tels que Arcangelo Corelli, son élève Francesco Geminiani, ou encore Giovanni Battista Vitali, et voit naître des formes telles que la Sonate et le Concerto grosso. C'est à Crémone, près de Bologne que Nicolo Amati, Andrea Guarneri et surtout Antonio Stradivarius amènent le violon à sa forme actuelle et produisent des exemplaires d'une très grande qualité, à tel point que les Stradivarius et, dans une moindre mesure les Guarnerius, sont toujours aujourd'hui les violons les plus onéreux et les plus recherchés. ♦ Quel la utiliser ? Le XXe est le moment où l'on fixe la hauteur du la3, ou diapason. Celui-ci a considérablement varié au cours du temps : par exemple, entre les différents opéras d'Europe, et entre 1810 et 1860, le diapason a pris des valeurs entre 423 et 452 hertz. L'organisation internationale de normalisation fixe en 1955 le la à 440 Hz. Les fluctuations du la ont d'importantes conséquences sur les instruments à cordes. En effet, pour obtenir un diapason plus élevé, ce n'est pas l'épaisseur de la corde qui est modifiée mais la tension. La pression exercée sur la table varie ainsi fortement au cours du temps. La montée du la3 par rapport à celui de l'époque Stradivari entraîne un renforcement du barrage des instruments anciens pour mieux résister à la pression accrue exercée par les cordes. Mais les années 1950 signent aussi le retour du jeu sur violon baroque (et donc souvent l'emploi d'un la3 plus bas), avec la formation du Concentus Musicus Wien par Nikaulos Harnoncourt, le pionnier du genre. S'ensuivent les mises en place de la Capella Cloniensis en 1954, du Collegium Aureum (1962), du Alarius Ensemble Bruxelles (1956) et après 1972 de La Petite Bande (fondations de Sigiswald Kuijken et de son entourage), de l'Academy of Ancient Music (1973)... Les instrumentistes baroques réutilisent des violons de montage baroque qui n'ont pas été modifiés, ou des copies d'après modèles ; suivant les cas, ils y ajoutent les cordes en boyau et l'archet convexe."
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Accordéon Banjo Basse Batterie Chant Chant lyrique Clarinette Clavier Contrebasse Cor harmonie Flûte Guitare Harmonica Harpe Piano Saxophone Trompette Ukulele Vielle a roue Violon Violoncelle Voix Jazz